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Agriculture - Page 3

  • Quatre sangliers ont déjà été abattus

    Capture-d’écran-2023-04-11-V-08.00.34.gifPelouses retournées, clôtures abîmées… Depuis deux bons mois, une compagnie – c’est le terme – de sangliers cause des dégâts dans plusieurs jardins de Cheratte et Sarolay.

    Un article d'AURÉLIE DRION dans LA MEUSE BASSE-MEUSE du 11 avril 2023.

  • Teuven au JT de la RTBF

    Dans le journal télévisé de la RTBF ce midi (6/4/2023), le journaliste interviewe Luc Hollands, agriculteur "des Fourons, en province de Liège". 

    https://auvio.rtbf.be/emission/journal-televise-13h-4 (à voir à partir de la 6ème minute).

     

  • José Happart, alors ministre wallon de l’Agriculture (de 1999 à 2004), a bétonné un holà qui embête bien les Flamands

    Capture-d’écran-2023-03-06-R-07.57.26.gifLes agriculteurs flamands ont semé la zizanie avec leurs tracteurs à Bruxelles. Et nous ? Sommes-nous moins concernés ou doit-on aussi redouter la disparition de centaines d’exploitations à cause d’un trop-plein de déjections d’animaux d’élevage ?

    Au Pays de Herve, le problème se pose dans les Fourons. Et les habitants du coin connaissent les transports de lisier qui viennent de Sippenaeken vers Sinnich.

    Un article de d'YVES BASTIN, Journaliste, dans LA MEUSE VERVIERS du 6 mars 2023.

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  • « Du pré à la bouche » : une boucherie à la ferme en région liégeoise

    À Bombaye, en région liégeoise, Brigitte (Beckers, avec ses soeurs sur la photo, anciennes rémersdaeloises) et Daniel Piron ont ouvert leur boucherie à la ferme pour y vendre des produits issus de leur élevage mais pas que…

    Daniel a commencé à proposer, de temps en temps, des colis de viande qui étaient très appréciés des clients. « En 2018, j’ai racheté du matériel et je me suis complètement relancé dans la ferme et en juin, on a ouvert notre boucherie à la ferme, « Du pré à la bouche ». De notre côté, on ne fait plus que le viandeux avec du Blanc Bleu et environ 70-75 bêtes et on vend notre viande qui est produite chez nous, à la ferme, en circuit très court. On propose aussi à la clientèle du porc, du poulet ou encore du gibier via des partenaires mais c’est toujours produit localement. Cela n’a rien à voir avec de l’industriel », argumente Daniel qui vend aussi, dans son magasin, des fruits cultivés aussi dans l’exploitation familiale ainsi que des produits venant d’artisans locaux (jus, sirops, fromages…).

    Depuis un mois, le couple propose même, dans la cour de la ferme, un petit marché. « Nous travaillons avec deux légumiers mais nous cherchons d’autres partenaires, toujours avec des produits de base et locaux ».

    La formule « de la ferme à l’assiette » semble séduire de nombreux clients. « Je pense que les clients apprécient le fait que ce soit local et de qualité et, contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’est pas plus cher que d’aller en grandes surfaces. Nous ne sommes pas bio mais nous travaillons de manière raisonnée. Le Blanc Bleu, par exemple, est une des races qui a le moins d’impact sur l’environnement et celle qui est la plus rentable sur le plan de la viande. On ne fait pas du Blanc Bleu industriel. Il faut laisser le temps au temps pour avoir du goût et de la consistance », conclut-il.

  • « De voir ainsi souffrir nos arbres, c’est stressant », confirme Dominique Meyers

    Capture d’écran 2022-09-08 à 09.15.13.pngLe soleil a donné du sucre aux fruits de nos vergers, mais il a aussi grillé pommes, poires et jeunes arbres. Avec des perspectives sombres pour les fruiticulteurs quand il faudra payer le courant pour les frigos de stockage.

    Un article d'YVES BASTIN dans LA MEUSE VERVIERS du 8 septembre 2022.