Dans un de ses grands exposés de jurisprudence autoproclamée, le bourgmestre s'est rendu coupable hier soir, au conseil communal, d'un flagrant délit de mensonge.
Il affirmait que c'était à tort que la Commission permanente de Contrôle linguistique avait exigé que l'enseigne de la salle paroissiale de Fouron-le-Comte soit bilingue, parce que, selon lui, cette salle était indépendante de la Fabrique d'église et que la législation linguistique ne s'y appliquait donc pas.
Or, la photo ci-dessus démontre bien le contraire: la Fabrique d'église Saint-Lambert de Fouron-le-Comte était bien le maître d'oeuvre de la construction de cette salle paroissiale.
Aura-t-il le courage d'avouer son erreur?