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Cette publicité du Garage Henry me permet d'évoquer un personnage de Rémersdael: Edmond Roemans.
Edmond Romans était né en 1923 à Rémersdael.
Quand j'ai fait sa connaissance, il vendait des aliments pour bétail du Moulin Maréchal de Trooz.
Puis, il est devenu vendeur de véhicules Mercedes pour le garage Henry à Warsage, là où on va construire un immeuble à appartements au coin de la rue vers Bombaye. Alfred Henry avait ouvert ce garage en 1956 et il avait épousé Léa Smeets, la fille du bourgmestre de Warsage Alphonse Smeets.
Edmond Roemans a poursuivi sa carrière professionnelle comme vendeur de camions Ford pour la firme Spirite de Herve.
Ses parents avaient un petit commerce d'alcool et de tabac au village à Rémersdael. On y versait la goutte dans l'arrière-cuisine. Quand Edmond s'est marié en 1959, il s'est installé avec son épouse dans la maison voisine. Plus tard, ils ont acheté une maison près de la place de l'église où ils ont poursuivi ce commerce d'épicerie, tabac et alcools.
En 1970, il est devenu conseiller communal jusqu'en 1976. Il a été un membre très actif (grosse caisse et secrétaire du comité) de l'Harmonie Sainte-Geneviève et l'organisateur de toutes les fêtes du village.
Il est décédé en 1996.
Si vous avez d'autres informations ou souvenirs concernant cette personnalité de Rémersdael, n'hésitez pas à la communiquer ici en commentaire.
Pour la 21e fois, Jean-Pierre Lensen commentera une visite de cimetière début novembre. (les 10 cimetières de l'entité de Visé en 13 visites et 7 visites dans le grand Dalhem et Bassenge). Il vous donne rendez-vous au centre culturel Al Vile Cinse le dimanche 3 novembre 2024 à 10 h.30 et vous irez découvrir le cimetière proche de l'église. Tant les types de tombes que leur décor que les plus de 250 familles qui y trouverent leur dernière demeure seront évoquées. Cette ville des morts de Berneau est des plus symboliques et explique bien la sociologie de ce village de l'entité de Dalhem. Fin de la visite commentée vers midi. La participation est libre et un document généalogique sera remis aux participants.
Il y a 8 ans, le musée régional de Visé commémorait les 400 ans (1616-2016) de la fondation du couvent des chanoinesses du Saint-Sépulcre plus connues sous le terme de Sépulcrines. Le centre culturel de Visé, au 31 rue du Collège est l’héritier de cet établissement à la fois religieux mais aussi scolaire qui ferma ses portes en 1824, remplacé en 1851 par une école moyenne de l’état pour garçons (secondaire inférieur), devenue athénée (avec les 6 années du secondaire) en 1936 avant de déménager au quartier du Gollet en 1983. La ville de Visé récupéra l’ensemble du bâtiment et aménagea l’ancienne chapelle en 1985. Le centre culturel se dota du musée régional, d’ateliers créatifs, d’échevinats, de l’académie de musique César Franck et d’une bibliothèque ; l’ancienne salle de gymnastique de l’école se métamorphosa en une salle de spectacles (les Tréteaux) en 2019. Une première visite de « sépulcrines » (venues de 3 continents)(elles seraient encore un millier de parle monde) eut lieu peu avant l’an 2000. L’exposition et la revue copieuse éditée par le musée qui sortit en 2016 ont fait connaître le rôle éminent de ces sœurs cloîtrées et dynamiques. Certaines d’entre elles n’iront-elles pas fonder en quelques années de nouvelles communautés à Charleville (FR), à Aix-la-Chapelle (D), à Maastricht – Bonnefanten (NL) et aussi à Jupille.
C’est à l’initiative d’un curé originaire de Visé Vincent Goulmy, qui officie dans une paroisse du Limbourg Hollandais, Brunssum, que nous avons reçu 5 sœurs en habit de sépulcrines (avec la double croix rouge cousue), accompagnée de 2 laïques et du curé de Sint-Odilienberg (NL). Une dizaine de sœurs sont encore actives dans cette communauté (allant de 26 ans à 90 ans d’âge). Les témoins matériels du passage des sépulcrines visétoises (elle-même venues de Liège en 1616) sont nombreux au centre culturel : la chapelle désacralisée, les trois dalles funéraires sur le chevet extérieur, sur les murs les fers d’ancrage en forme de croix à double traverse et le cloître….. Enchanté des 90 minutes de visite, le groupe continua sa visite à Kanne où une belle chapelle en tuffeau érigée par une Sépulcrine de Maastricht est remarquable (tout à côté d’une boulangerie bien connue dans la région !). Le musée reçut en cadeau un tableau impressionnant reprenant la centaine de communautés des chanoinesses du Saint-Sépulcre de par le monde.